Nom
Kaolinitique à revêtements polychromes opaques / ByzanceCéramiques tournées dans une pâte blanche kaolinitique, fine, sur laquelle les motifs sont peints en polychromie à l'aide de diverses glaçures plombifères riches en silice et colorées à l’oxyde de cuivre pour le vert et le bleu, plus rarement à l’oxyde de cobalt pour le bleu foncé, à l’oxyde de fer pour le jaune, l’orange et l’ambre ainsi que le noir, à l’oxyde de manganèse pour l’aubergine et le marron. Une glaçure plombifère incolore, appliquée en couche fine, apparaît dans les zones qui ne sont pas remplies par les glaçures colorées. Des engobes rose clair ou rouge profond complètent la palette de couleurs. Les contours noirs épais de certains décors sont tracés à l’aide d’un engobe teinté à l’oxyde de fer qui était sans doute destiné à contenir les aplats de glaçures colorées. Les glaçures vertes, en particulier celles des céramiques trouvées à Constantinople, sont plombifères, alcalines mais aussi alcalino-plombifères. Considérée comme une production constantinopolitaine, les analyses des pâtes de trois fragments de Polychrome Ware du Louvre montrent une composition identique à celle des tessons de Glazed White Wares I et II qui ont été attribués aux officines de la capitale. En plus d’ateliers constantinopolitains, il existait au moins un autre centre producteur à Preslav en Bulgarie en activité au plus tôt à la fin du Xe siècle.
Kaolinitique à revêtements polychromes opaques / ByzanceCéramiques tournées dans une pâte blanche kaolinitique, fine, sur laquelle les motifs sont peints en polychromie à l'aide de diverses glaçures plombifères riches en silice et colorées à l’oxyde de cuivre pour le vert et le bleu, plus rarement à l’oxyde de cobalt pour le bleu foncé, à l’oxyde de fer pour le jaune, l’orange et l’ambre ainsi que le noir, à l’oxyde de manganèse pour l’aubergine et le marron. Une glaçure plombifère incolore, appliquée en couche fine, apparaît dans les zones qui ne sont pas remplies par les glaçures colorées. Des engobes rose clair ou rouge profond complètent la palette de couleurs. Les contours noirs épais de certains décors sont tracés à l’aide d’un engobe teinté à l’oxyde de fer qui était sans doute destiné à contenir les aplats de glaçures colorées. Les glaçures vertes, en particulier celles des céramiques trouvées à Constantinople, sont plombifères, alcalines mais aussi alcalino-plombifères. Considérée comme une production constantinopolitaine, les analyses des pâtes de trois fragments de Polychrome Ware du Louvre montrent une composition identique à celle des tessons de Glazed White Wares I et II qui ont été attribués aux officines de la capitale. En plus d’ateliers constantinopolitains, il existait au moins un autre centre producteur à Preslav en Bulgarie en activité au plus tôt à la fin du Xe siècle.
Autres appellations
Hérite de
Kaolinitiques à revêtements opaques
Kaolinitiques à revêtements opaques
Période de production
980 → 1120
980 → 1120